Les Terminales ES2 à la découverte de Paris !

Jeudi 31 janvier, 6 heures, rue Libération à Charolles … des voitures attendent patiemment dans la nuit. Soudain, un bus arrive, se gare. Des silhouettes encore endormies se détachent lentement des voitures, ce sont les élèves de la classe de Terminale ES2. Ils ont rendez-vous pour aller passer 3 jours à Paris !

Après quelques heures dans le bus et un premier contact avec la capitale depuis le périphérique engorgé, l’installation dans l’auberge de jeunesse Yves Robert dans le 18ème arrondissement se fait tranquillement.

Derniers regards, dernières vérifications, … C’est parti, à nous Paris !!

Rencontre avec les journalistes du quotidien Libération dans les locaux du Campus Altice qui héberge également les rédactions de l’Express, BFM TV, RMC, …

Echanges avec Antonin Laurent, un des membres fondateurs de l’ONG « Notre Affaire A Tous » qui milite pour la justice climatique et qui a lancé en décembre dernier le recours contre l’Etat français pour inaction contre le changement climatique.

Visite de l’Assemblée Nationale avec en séance un débat sur la proposition de loi sur la prévention des violences lors des manifestations en présence du Ministre M. Castaner et avec une belle prise de bec entre députés LREM et France Insoumise !

Visite de l’Institut du Monde Arabe, visite du Louvres, promenades et déambulations dans les grands boulevards.

Mais surtout, le métro, expérience sensorielle et la Tour Eiffel, vertigineuse !

Deux mentions spéciales : tout d’abord pour celle qui, malheureusement, à cause d’un mauvais virus, n’a pas pu nous accompagner, et pour celui qui nous a fait bien rire en restant bloqué sur le quai du mauvais côté de la porte du métro …

Dernière anecdote … le guide de la visite StreetArt prévue qui ne vient pas, visite annulée mais un des responsables de la structure, un artiste graffeur, qui pour se faire pardonner propose de venir faire gratuitement une fresque StreetArt au lycée !

Décidément, un voyage qui va laisser des traces !

Article proposé par Hervé Bernard, professeur de SES